La vengeance : un plat que je préfère chaud, très

Kiss

La vengeance : un plat que je préfère chaud, trèsJe m’appelle Natacha, j’ai vingt-trois ans depuis quelques mois. Je pensais avoir trouvé l’homme de ma vie il y a deux ans lorsque j’ai rencontré Stéphane à la fac.J’ai tout de suite craqué pour ce beau brun de deux ans mon aîné au regard azuré. Après quelques mois de relation intense, nous avons décidé de partager un appartement. Nous avons alors vécu presque deux ans de bonheur.Puis, il y a une semaine, alors que je rentrais du travail plus tôt qu’à l’ordinaire, je trouve ce salaud dans notre lit avec une blondasse !J’ai immédiatement quitté cet appartement. Ne sachant pas où aller, j’ai rejoint mes parents en piteux état. J’étais effondrée. Tout ce en quoi je croyais s’écroulait.Suivant les conseils de mes parents, je recontacte Mélanie, une amie du lycée que je n’avais pas vue depuis plus d’un an. Lors de notre entretien téléphonique je ne lui précise pas la raison exacte de mon appel. Apparemment très heureuse d’avoir des nouvelles, elle me propose immédiatement une sortie dans un café de la ville.Je suis très contente de sortir à nouveau après ces jours difficiles. Mélanie semble radieuse, elle est souriante, elle rit. Nous commençons à discuter de choses et d’autres et rapidement l’Amour devient le sujet de la conversation. J’apprends alors qu’elle n’a personne dans sa vie en ce moment.Je lui avoue mon échec avec Stéphane. Elle est désolée, elle le connaissait un peu, et trouve, comme moi, que c’est un vrai salaud.Pour me consoler, elle m’apprend qu’une mésaventure de ce type lui est arrivée il y a quelques mois. Cependant, elle ne connaissait le malotru que depuis quelques semaines et elle me dit avoir sans doute moins souffert que moi.Cependant, elle m’affirme que le fait d’avoir été trompée l’a tout de suite incitée à se venger. C’est pourquoi elle a très rapidement couché avec un inconnu, ou presque, qui la draguait ! Lorsqu’elle me dit cela je me souviens que ma première réaction fut, moi aussi, de coucher avec un beau mec ! Après tout j’en avais le droit.De plus j’ai la prétention de dire que je n’aurais pas de mal à trouver un beau mâle acceptant de devenir l’instrument de ma vengeance. En effet, depuis que je sors avec Stéphane, et même avant, les propositions des dragueurs en tout genre n’ont pas manqué. Cela doit vouloir dire que je suis mignonne, du moins attirante. Je mesure 1m65 pour 55 kilos, je porte de longs cheveux bruns, et j’ai les yeux noisette. Mon corps ne me satisfait pas pleinement, je me trouve légèrement enveloppée, mais toutes mes amies pensent de même en se regardant dans la glace. J’achète mes soutiens-gorge en 90 C, et lorsque je porte un décolleté, jamais trop découvert non plus, je sens que le regard des hommes insiste sur ma poitrine.Mélanie commence à m’expliquer comment elle s’est vengée. Elle a couché avec le premier venu et elle s’est immédiatement sentie mieux, comme si elle avait lavé l’affront qu’un salopard lui avait fait subir.Elle ne s’arrêta pas en si bon chemin ! En effet, le lendemain de son aventure avec un bel inconnu, elle a réédité l’expérience, puis le surlendemain et le jour d’après,…Bref, elle finit par me confier que depuis ce jour elle couche avec tous les hommes qui lui plaisent et apparemment, ils sont nombreux. A voir sa mine épanouie, son sourire et sa joie de vivre, la recette semble parfaitement fonctionner.Le récit des quelques-unes des ces aventures m’intéresse au plus haut point, je commence même à sentir mon entrecuisse s’humidifier !Sentant que je ne reste pas indifférente à ses propos, Mélanie devance mon attente. Elle me dit : « Si tu crois que cela peux t’aider, fais appel à moi pour trouver un mec. J’en connais quelques-uns qui pourraient très bien te remettre sur pieds. »Je ne sais pas ce qui me prend et j’accepte sa proposition. Elle me donne alors rendez-vous pour le lendemain après-midi, chez elle.La nuit est difficile, je repense à Stéphane, à la proposition de Mélanie, mes idées s’embrouillent, j’ai du mal à dormir.Le matin, je suis encore toute confuse, ne sachant pas si je dois rejoindre Mélanie ou si je dois la prévenir que je ne viendrai pas ? J’ai peur qu’elle me trouve « gourde » si j’annule ce rendez-vous ; mais si j’y vais, je ne sais pas sur quoi, ni sur qui je vais tomber.Les heures passent, je me pose des questions. Puis finalement je décide de la rejoindre. Lorsque j’arrive chez elle, il est 14 heures. Elle m’attend, apparemment impatiente.Elle est vêtue d’une courte robe qui met en valeur son joli corps. Je ne sais pas si elle l’aime, mais moi je serais un mec je ne résisterais sûrement pas.Elle est contente de me voir, elle craignait que je ne renonce à ma vengeance, sous de vils prétextes. Je mens en répondant que je n’ai pas eu la moindre intention d’annuler.Mélanie me dit tout de suite que j’aurais dû m’habiller plus sexy. C’est vrai qu’elle sait se mettre en valeur.Elle m’apprend immédiatement qu’elle va devoir remédier à cela. Je la suis dans sa chambre, elle sort quelques vêtements, des petits hauts très courts, des mini-jupes, de petites robes,… Bref, rien que du très léger. Elle me conseille de la laisser faire, qu’elle s’y connaît.Quelque peu sous son charme et encore sous le choc du coup de Stéphane, je la laisse faire à sa guise.Après plusieurs essais, qui ne la satisfont pas totalement, je me retrouve vêtue d’un top laissant mon nombril nu et d’une jupe qui me couvre à peine le haut des cuisses. Je proteste un peu, mais surtout pour la forme. Mélanie, me rassure en me disant qu’on va aller chez une connaissance, où je trouverai tout ce dont j’ai besoin pour me venger.Nous quittons le logement de Mélanie pour prendre sa voiture. Je suis tremblante, je sais ce qui m’attend, mais en même temps, j’ai un peu peur de l’inconnu. Cela fait quelque temps que je n’ai pas connu d’autres garçons et je suis anxieuse. De plus je ne connais pas encore celui avec lequel je suis censée me venger. Mélanie me rassure en me disant que personne ne me forcera à quoi que ce soit.Nous arrivons à un pavillon. Mélanie sonne, un jeune homme, assez séduisant nous ouvre. Il se prénomme Marc. Il nous invite à entrer. Sa demeure est sympathique, mais la décoration laisse à désirer. En revanche, Marc est mignon, grand, costaud, je ne pense pas que j’aurais flashé sur lui, mais il ne me déplait pas du tout.A l’intérieur un ami de Marc nous attend, Eric, un grand blond, tout à fait séduisant, il me plait davantage que Marc.Les présentations sont rapides, apparemment Mélanie les connaît bien. Marc nous offre à boire, je lui demande un whisky, je sais qu’il est encore tôt, mais j’en ai vraiment besoin. Les autres ne semblent pas s’étonné de cette demande.Une fois les verres servis, Mélanie commence à expliquer la raison de notre venue. Je suis très güvenilir bahis gênée, mais les deux hommes comprennent tout à fait mes motivations.Marc décide que nous ne devrions pas perdre de temps. Doucement, il entreprend de caresser la jambe nue de Mélanie, il remonte rapidement vers sa cuisse. Eric me fixe. Prenant mon courage à deux mains, je m’approche de lui et passe ma main sur sa chemise.Instinctivement je défais les premiers boutons, pour glisser sur son torse. Il entreprend de tâter mes seins à peine recouverts par le tissu du mini tee-shirt que je porte. Les caresses se prolongent entre Eric et moi. Nos mains se font plus hardies, elles commencent à passer sous les vêtements. Personnellement, je commence à ressentir une humidité naissante entre mes lèvres intimes. Mon ventre se réchauffe, je sens le désir pointer.Mon désir n’est pas le seul à pointer, j’aperçois le sexe d’Eric s’ériger petit à petit sous son pantalon.A côté, Mélanie et Marc ont déjà passé la vitesse supérieure ; ses seins sont libres et elle à dégrafé la braguette du jeune homme pour se saisir de son pénis.Doucement Eric approche ses lèvres des miennes. C’est en tremblant que j’embrasse cet inconnu, par vengeance, mais aussi par plaisir. Nos baisers sont brefs, au début, puis nos bouches se fondent pour rester collées durant des dizaines de secondes, puis des minutes entières. Ces attouchements buccaux, n’empêchent en rien nos mains de se promener sur le corps de l’autre. Eric malaxe mes seins vigoureusement, j’ai toujours aimé ce type de caresse, légèrement rudes, lorsque mon partenaire empoigne mes seins à pleines mains pour les pétrir !Ecartant sa bouche, il la colle à ma poitrine, ses coups de langues, ajoutés à l’action de ses mains, me font dresser les tétons. La chaleur envahit de plus en plus mon ventre, Eric étire mes bouts, qui deviennent encore plus gros. J’adore ces jeux !La descente le long de mon corps continue pour Eric. Il atteint maintenant ma culotte, ou plutôt mon string, enfin le sous-vêtement prêté par Mélanie. En effet, même si j’ai quelques strings, je n’avais pas jugé bon d’en porter un aujourd’hui, craignant, stupidement je l’avoue, de paraître trop délurée. Je crois vraiment que je ne voulais pas m’avouer la vérité.Bref, Eric caresse le petit morceau de tissu qui recouvre à peine mon pubis épilé. Bientôt, sa main glisse à l’intérieur, il trouve mon clitoris et entreprend de le caresser, il frotte ses doigts, qui s’insinuent dans ma fente. La sensation est délicieuse, des mains fermes, des doigts puissants qui me titillent les parties intimes, quel régal ! Mon entrecuisse est de plus en plus mouillée.Faisant glisser ma jupe au sol, mon Don Juan d’un jour, passe sa langue râpeuse, comme je les aime, sur mon sexe trempé. Mon excitation monte de plus en plus. En outre, la couple d’à côté a dépassé le stade des préliminaires, je vois Marc en train de prendre Mélanie sur le canapé, je l’entends pousser des cris de plaisirs, qui me donnent encore plus envie de sexe.Tout en léchant ma chatte, Eric y introduit son majeur. Ce doigt me brûle le bas-ventre, j’ai l’impression que je vais jouir simplement par ces caresses et ce doigt inquisiteur. Eric s’en aperçoit, il n’a apparemment pas envie de me faire venir tout de suite. Il s’écarte et ouvre sa braguette, pour laisser sortir son pénis, à moitié bandé. Il se branle quelques secondes et me demande de le sucer. J’aime pratiquer la fellation. J’adore sentir un membre de chair se gonfler en moi, sous mes coups de langue. En plus, Eric a le sexe rasé, ce qui permet d’éviter de manger plein de poils, ce dont je ne suis guère friande.Je prends donc ce sexe, un peu comme une friandise, le léchant, puis le faisant pénétrer dans ma bouche. Cette fellation dure plusieurs minutes. Je prends un rare plaisir à sucer cette bite, je n’avais jamais éprouvé une telle sensation en taillant une pipe !Puis, j’ai envie de me faire prendre, de me venger réellement ! Eric aussi a envie de tâter ma chatte avec sa queue.Je m’allonge sur la table, j’écarte les jambes au maximum dégageant mon coquillage en tirant sur les lèvres avec mes deux index. Eric présente son sexe, le conduit est tellement trempé du fait de mon excitation que sa colonne de chair entre sans forcer. D’un seul coup il me remplit le vagin. Cette pénétration me ravit, je sens mon sexe comblé, mon ventre chauffe, je mouille de plus en plus.Mon amant effectue des va-et-vient lents au début, mais il accélère progressivement la cadence, pour me conduire au bord de l’orgasme.Encore quelques assauts et je vais venir. Que c’est bon ! Au plaisir brut, s’ajoute celui d’être vengée ! J’ai l’impression que cet orgasme est le plus fort que j’ai connu depuis mes premières expériences avec Stéphane. Pourquoi je pense encore à ce salaud en un moment pareil ? Je ne sais pas mais je suis contente de me venger.Eric poursuit son intrusion, mais il accélère tellement que je sais qu’il ne va pas tenir longtemps. Précipitamment il se retire, et asperge mes seins de son jus blanc. Un jus très abondant, qui détrempe ma poitrine. Je porte mes doigts à mes seins gluants, j’aime la consistance du sperme, même si je n’ai jamais vraiment souhaité y goûter franchement.Puis Eric vient m’embrasser tendrement sur la bouche.Reprenant peu à peu mes esprits, je me tourne vers Mélanie et Marc. Mon amie est à quatre pattes sur le sofa, surmontée par son amant qui la sodomise violemment ! Elle crie de joie, elle semble jouir en permanence !Son étalon ne tarde pas à jouir. Mélanie se retourne rapidement de manière à ce que le foutre recouvre son visage ! Elle attend, la bouche ouverte, les giclées blanches !Une fois recouverte, elle sourit, apparemment ravie.Lorsque tout le monde a recouvré ses esprits, enfin à peu près, puisque je me sens encore très excitée, Marc me propose de me venger doublement, il demande à me faire l’amour tout de suite. J’accepte, sentant alors mon vagin bouillir d’impatience !Quelques coups de langue sur son sexe, encore gluant de sperme, suffisent à le rendre dure comme la pierre. Il me prend alors en levrette, une position un peu humiliante, mais tellement jouissive.Mélanie ne reste pas inactive, Eric la pilonne violemment, lui faisant pousser des cris démontrant son plaisir intense !Je ressens une vraie satisfaction lorsque Marc enfonce son membre dans ma chatte trempée ! Ma vengeance est encore plus forte. Et puis Marc est un formidable partenaire, il me lime à un rythme soutenu, provoquant des sensations puissantes et profondes.Je suis au bord d’un énième orgasme lorsque Marc quitte ma chatte. Je le supplie de me la remettre, de me baiser profondément, de me faire jouir ! Mais il persiste à ne pas me donner le plaisir que j’attends, il doit avoir un petit côté sadique. Sa bite longe ma raie türkçe bahis du haut en bas, glissant de mon clito à mon trou du cul, étirant ma mouille sur tout mon entrecuisse !Au bord de l’extase, mais voulant être prise, j’insiste, je veux qu’il me baise bien fort ! Alors il me propose de me remettre sa bonne bite, mais dans mon cul !J’ai connu une expérience de sodomie, avec un petit ami précédent Stéphane, je n’en garde pas un bon souvenir, le plaisir ne compensait pas une violente douleur. Mais cette fois, très excitée, en manque de sexe, je veux tellement sa bite, que j’accepte.Je lui dis d’y aller doucement. Son gland sur mon anus, il pousse doucement mais fermement et de manière continue. Peu à peu son sexe entre aux trois quarts dans mon cul. Il recule, pour prendre un peu d’élan et s’enfonce jusqu’à la garde !Cette sodomie n’a rien à voir avec ce que j’avais connu quelques années auparavant. Marc me donne du plaisir, je sens que je jouis comme une folle, je crie très fort, désirant montrer le feu que me brûle le ventre !Pour mon amant aussi cette pénétration est jouissive, il jute dans mon cul, arrosant mes parois intimes de son chaud liquide gluant.Mélanie a fait jouir Eric une nouvelle fois, elle semble très heureuse d’avoir une belle bite près de son visage souillé de foutre !Quelques minutes plus tard nous prenons congés de nos hôtes, ravies et comblées dans tous les sens du terme.Mélanie me conduit jusqu’à chez elle. En me laissant près de ma voiture, elle me susurre à l’oreille :-On recommence quand tu veux !En rentrant chez mes parents, je me sens bien, je suis heureuse d’avoir couché avec des hommes que je ne connaissais pas. J’ai ne ressens aucune sorte de honte, je suis satisfaite.Le soir je m’endors facilement, si je repense encore à Stéphane, je suis désormais détachée de lui, je ne souffre plus en revoyant l’image de lui et sa maîtresse dans notre lit. J’entre dans une phase de sommeil réparateur, en caressant mon bouton.Le lendemain, dès le réveil je ressens encore des frissons, des deux pénétrations et des actes que j’ai connu la veille. Je suis encore toute émoustillée. Je ne pense déjà plus qu’à une chose : RECOMMENCER.A midi, je contacte Mélanie, pour lui demander d’organiser un nouveau rendez-vous coquin. Je suis triste d’apprendre qu’elle sera prise une bonne partie de l’après-midi. Cependant, elle me dit qu’elle pourra s’arranger pour la soirée. Elle me propose que nous allions faire quelques courses ensemble, pour que je dispose de vêtements corrects pour les soirées chaudes.Nous nous retrouvons dans le centre commercial de la ville. Mélanie est souriante, radieuse, elle semble ravie de ma décision. Elle m’entraîne immédiatement vers une boutique de lingerie féminine. Elle choisit pour moi des soutien-gorges et des strings affriolants. Puis elle se dirige vers des habits plus classes : bas, porte-jarretelles,…Il y a deux jours encore j’aurais eu honte de porter des sous-vêtements aussi sexy, mais aujourd’hui cela me donne envie de faire des folies de mon corps ! Une pointe d’humidité perle entre mes lèvres intimes.Nous gagnons une boutique de prêt à porter. Le magasin propose un large éventail de mini-jupes, de tops, de mini-shorts, de robes moulantes,…Nous finissons chez le marchand de chaussures. Mélanie me soumet de belles chaussures à talons hauts, mais je craque pour des escarpins à lacets montant, que je trouve très sexy s’ils sont assortis à une robe ou une jupe assortie.Une fois nos emplettes terminées, nous gagnons l’appartement de mon amie.Mélanie me conseille de m’habiller de manière à la fois sexy et classe. J’opte pour une robe noire, courte et décolletée, mettant en valeur ma poitrine et mes longues jambes. Pour les dessous je penche pour des bas assortis tenus par un porte-jarretelles. Je serai chaussé de mes escarpins. Mon sexe et mes seins resteront à l’air libre !Je me dévêtis devant Mélanie, sans réelle pudeur. De toutes manières elle m’a déjà vu nue et dans des positions beaucoup plus scabreuses. Cependant, je m’aperçois que son regard fixe longuement mes seins, puis ma chatte. Me faisant un clin d’œil, elle approche ses lèvres des miennes, nos bouches s’effleurent. Ce petit bisou humide me ravit. Je n’ai jamais connu d’expérience lesbienne, je n’avais jusqu’à aujourd’hui jamais été vraiment tentée.Doucement, je caresse le sein gauche de Mélanie, son téton pointe au travers du tissu de son tee-shirt, elle ne porte pas de soutien-gorge.Notre flirt se poursuit quelques minutes. Nous nous embrassons, nos langues se mêlent langoureusement, nos caresses se font plus précises, Mélanie se défeuille peu à peu. Je trouve ravissante, cette belle jeune femme souriante, au corps ferme et appétissant !Son souffle chaud sur mon ventre nu me fait frémir, mon sexe s’humidifie, j’ai envie d’elle. Elle poursuit sa descente vers mon pubis et mon clito. J’en suis toute émoustillée. En quelques coups de langue sur ma vulve, Mélanie me fait jouir comme une folle, j’inonde sa bouche de ma cyprine, qu’elle gobe avec avidité. Quelle joie de sentir une langue féminine me faire atteindre l’orgasme !C’est maintenant à mon tour de donner du plaisir à celle qui m’a si bien fait jouir à l’instant. J’appréhende un peu, car je n’ai jamais léché un sexe féminin, vais-je bien m’y prendre ? Cependant l’excitation est forte et Mélanie pousse la tête contre sa fente, elle veut du plaisir.Timidement, ma langue glisse sur ce pubis délicatement épilé, elle entre en contact avec le clitoris, passe entre les lèvres intimes, délicieusement humides et parfumées ! Je me surprends à adorer le goût de son jus. Mes doigts l’aident à jouir, son orgasme me semble profond, elle aussi libère une importante quantité de mouille, qui m’inonde la bouche, j’avale le tout avec délectation !Après cette adorable première expérience homo, je suis ravie de prendre un apéritif. Nous buvons tout en poursuivant nos caresses, toujours nues.Mélanie décide que nous devons nous préparer, il va bientôt être l’heure de partir.Sur le chemin je questionne Mélanie pour connaître la suite des événements, mais elle refuse de m’informer, prétextant que je serai de toutes façons ravie de la suite. Nous nous rendons dans un restaurant, pas très chic, mais correct.Mélanie donne un nom au serveur, il nous conduit à une grande table, je suis un peu surprise, mais je ne pose plus de question. Les uns après les autres six hommes arrivent, ils ont tous l’air de se connaître et de connaître Mélanie.Elle fait les présentations. La vue de ces mâles, l’air solide et vigoureux me met dans un état d’excitation avancé. Je n’étais pas comme ça il y a encore quelques jours.Je suis entourée de deux jeunes bruns, charmants et sexy. Ils ont l’air très intéressés par mes formes, leur grande taille leur permet d’avoir güvenilir bahis siteleri une vue panoramique sur ma poitrine ! J’adore.Je ne me reconnais pas, mais je fais tout pour me montrer. Je recule légèrement ma chaise de manière découvrir mes cuisses recouvertes par le fin tissu de mes bas. En glissant de quelques centimètres sur l’assise cela permet à ma robe de remonter le long de mes cuisses. Mes voisins peuvent désormais apercevoir la partie doublée du bas, ainsi que le bout de mes jarretelles ! Même le serveur peut facilement se rincer l’œil. Cela m’excite beaucoup.Dès l’entrée, mes voisins commencent à tâter mon corps, leurs mains se promènent furtivement, mais de manière appuyée sur mes jambes, mon ventre et même ma poitrine.J’observe Mélanie, elle subit le même traitement, elle sourit, l’air joyeux. Le dîner se poursuit par des caresses et des attouchements de plus en plus osés. La conversation prend elle aussi une tournure débridée. Nous parlons de sexe, de ce que nous aimons faire, des positions, des pratiques,…A l’issue du repas, tout le monde semble déjà connaître le programme, sauf moi, mais j’ai ma petite idée !Nous montons en voiture, je suis avec trois garçons, assises à l’arrière avec deux d’entre eux. Ils me tripotent, me touchent, je me laisse faire avec un plaisir certain. Le trajet est court. Nous arrivons dans la cour d’une maison.Mélanie sort de l’autre voiture, ses seins dépassent de sa robe, elle sourit tout en étant pelotée. Je suis de plus en plus excitée, la vue de tous ces mecs prêts à me sauter dessus, et surtout à me sauter tout court, a un effet aphrodisiaque puissant.C’est une vaste marée humaine qui entre dans la maison. Une fois dans le salon, trois hommes se jètent sur moi, tandis que les trois autres s’occupent de Mélanie. Ma robe ne résiste pas longtemps à leurs assauts, ils l’ôtent et je me retrouve en porte-jarretelles et escarpins, les seins et la chatte nus, devant des hommes que je ne connaissais pas il y a deux heures de cela, je ne connais d’ailleurs toujours pas tous les prénoms, quelle importance, pourvu qu’ils me donnent du plaisir !Deux d’entre eux sortent leur bite, elles sont grosses, pas démesurées, mais ce sont de beaux calibres. Excitée au plus haut point, je suce la première queue qui se présente, elle est seulement à moitié bandée, mais elle durcit très vite au contact de ma langue. Je branle l’autre, en la maintenant près de mon visage. Le troisième gars continue de me triturer, il gagne ma chatte, passe sa main dans ma fente allant de mon clito à mon anus. Je dégouline comme une fontaine, ses doigts doivent être trempés.Une fois la première bite bien dure, je la sors de ma bouche, pour prendre la seconde. Celle-là aussi grossit rapidement. Durant cette fellation on m’introduit des doigts dans la chatte toujours ruisselante.Je suis heureuse d’être ainsi prise, deux bites dans la bouche, des doigts dans ma fente.Le troisième gaillard décide de libérer son sexe déjà très gonflé. Sous l’effet de l’excitation je suce ce nouveau membre avec délectation, en branlant les deux autres, ce n’est pas facile de conserver un rythme cohérent.J’entends les mecs me traiter de salope, de bonne suceuse, et à ma grande surprise j’en suis contente ; je prends ces mots crus et vulgaires pour de chauds compliments. Mon ventre est chaud comme la braise, j’ai envie d’être baisée, profondément, sauvagement…Je le dis : « Prenez-moi ! Mettez-moi vos bites ! » Ces paroles de pute relancent l’envie de mes partenaires. L’un d’eux se glisse sous mon ventre et d’un coup sec, entre dans mon intimité, il perfore ma chatte, me remplit comme j’aime !Pendant que je suce une belle queue et que je branle l’autre, je sens que ma main se libère, quelque peu surprise, je comprends vite l’intention du mec. Il présente son gland contre mon anus, alors que ma chatte est toujours ramonée par un sexe puissant. J’ai un sentiment de peur, comment mes trous vont supporter cette double intrusion ?Mais je n’ai pas longtemps à m’interroger, la bite entre doucement dans mon trou du cul ! Mon autre baiseur a stoppé, il reste fiché sa bite dans ma chatte jusqu’à la garde, attendant la seconde intrusion. Une fois que les deux sont en place, je me sens plus que remplie, comblée, bourrée. J’adore cette sensation. Ma chatte doit couler comme un robinet, je n’arrive pas à le sentir, mais ma jouissance monte. J’atteins l’orgasme, violent, foudroyant.Mes partenaires ne me laissent aucun répit, celui que je suce presse l’arrière de ma tête pour que ma bouche s’empale. Sa bite touche le fond de ma gorge, ceux de derrière percutent mon cul de salope, ils me ramonent, et me font jouir à nouveau deux minutes après le premier orgasme !Le mec qui défonce mon cul, en sort, il est prêt à éjaculer. Il approche de ma bouche avide de queue, il libère son jus, un flot chaud m’irrigue la langue et le menton. J’aime gober ce sperme chaud qui me macule ; le goût ne me déplait pas du tout, bien au contraire. Pendant, ce temps, le dernier gars, qui ne m’a pas encore baisée, gagne mon anus resté dilaté après la violente pénétration.Une autre paire de couilles se vide dans ma bouche de garce, mon cul est toujours empli. Je perds le fil des opérations, terrassée par les orgasmes successifs.Enfin, je reçois encore une vague de foutre, que j’avale de mon mieux.Lorsque j’émerge de ma jouissance Mélanie est en train de m’embrasser à pleine bouche. Nous partageons le sperme qui recouvre nos visages. Des mains parcourent toujours nos corps.La soirée se poursuit sur ce rythme endiablé, je prends de nouvelles bites dans ma bouche, ma chatte et mon cul. Je jouis, je jouis, je jouis,…et je crois que j’ai encore joui.De nouveau des flots de sperme inondent ma bouche, j’en ai partout, j’en suis couverte des seins aux cheveux !A certains moments, Mélanie se trouve en face de moi, nous mêlons nos langues, qui en se séparant tissent des fils de salive et de sperme, offrant sans doute un panorama des plus coquin à nos amants.Après une bonne douche, une nouvelle occasion de caresser le corps chaud de Mélanie, nous quittons la maison, raccompagnées par l’un des baiseurs.Une fois seules, j’avoue à Mélanie le plaisir que j’ai pris durant cette soirée, et l’après-midi précédent. Elle m’explique qu’elle aussi adore baiser avec plein de mecs quasi inconnus, mais qui savent se servir de leur sexe. Elle se fait baiser ainsi presque tous les jours, dès qu’elle en a l’occasion. Elle aime être salope, se faire traiter comme la chienne en chaleur qu’elle est.En moi-même, je repense aux événements des derniers jours et je suis obligée de m’avouer que les paroles crues de Mélanie s’appliquent de la même manière à mon cas.Je sais que je vais bientôt rejoindre Mélanie sur le plan du vice, je suis en train de devenir une véritable salope et cette idée ne m’angoisse pas, elle me fait frémir : voilà que ma chatte redevient humide avec cette idée en tête.Finalement ce connard de Stéphane m’a rendu un grand service, en me révélant mon caractère profond.