Amalia

Anal

bonjour

je m’appelle Helène, et je vis avec une amie d’origine Africaine qui me partage avec les membres de sa famille

Tout a commencé en Guyane ou j’intervenais en temps qu’ethnologue.

J’avais pour mission d’étudier une des rares tribus vivant encore de façon originelle au plus profond de la foret primaire.

Depuis deux ans je vivais au sein de cette tribu, parageant leur quotidien, et leur mode de vie,

J’étais nue comme eux…Al’approche du village lors du premier contact, j’avais abandonné mes vetements à mon guide, qui en avait profité pour me mater sous toute les coutures, ne gardant que de discrètes semelles aux pieds.

Mon apparition dans le village avait causé une grande surprise…ma peau blanche, ma grande taille …Aucune hostilité en revanche

Pour préparer cette mission, j’avais étudié les rudiments de leur langue qu’on savait proche de celle d’autres tribus connues.

Je compris qu’un conseil de village allait être convoqué à mon sujet.

Je me retrouvais donc nue au milieu d’une centaine de paires d’yeux qui m’observaient en palabrant.

après quelques minutes , deux femmes agées s’approchèrent de moi et je compris qu’elles me demandaient ce que je venais faire chez eux…je leur répondis « vivre avec vous comme vous »

Les palabres reprirent et je commencais à m’inquieter lorsqu’une des femmes revint me dire que je pouvais rester pour quelques jours et qu’ils décideraient d’un plus long séjour en fonction de mon intégration.

A ma grande surprise elle me fit comprendre aussi que ma tenue n’était pas correcte pour une femme!

Voyant mon incompréhension, elle me montra la fine ceinture d’osier que toutes les femmes portaient autour de la taille…ce fut ma première leçon sur les mœurs de cette tribu…tenue correcte exigée…

Je vivais donc avec eux depuis deux ans…j’avais mon « vêtement d’osier » et ils m’avaient même donné un nom tribal.

Chez eux, le nom se rapportait à votre physique ..Il y avait le « chasseur à l,oreille coupée » la « vieille sans dents devant »

J’avais été baptisée « la femelle blanche aux grosses mamelles »

Un matin de ma deuxième année de séjour dans la tribu, un des guetteurs vint avertir le village que deux personnes venaient vers nous.

Il nous précisa qu’il y avait le guide qu’ils connaissaient, et une femme « le contraire de la femelle blanche » ce qui dans leur langue signifiait une femme noire..

Quelques minutes plus tard une femme noire en tenue de jungle se présenta à l’entrée du village.

Je m’avançait aussitot vers elle, devinant que j’étais concernée par sa visite.

Je n’avais plus conscience de ma nudité…mais l’intensité de son regard sur mon corps nu me surpris…Ses yeux détaillaient mon corps, s’arrêtant sur mes seins , la fourrure de mon pubis..

« Bonjour, vous êtes bursa escort celle que je viens voir »

« ah…bonnes ou mauvaises nouvelles? »

« a vous de voir, vous allez devoir rentrer dans votre université, vos crédits de recherche ont été rejetés..au fait ..je suis le Docteur Amalia X..je dois vous examiner avant votre retour à la civilisation, pour voir si vous n’avez pas de maladies exotiques..»

J’étais trés déçue de la nouvelle…mais il fallait bien que ça arrive un jour..

« suivez moi on va voir ça dans mon carbet »

Je la précédais dans le sentier menant à mon abri quand soudain elle dit : « la vie sauvage vous a réussi..vous avez une croupe superbe!..j’adore le balancement de votre cul quand vous marchez!.. »

Choquée, je ne pu que répondre un vague « merci »

Arrivées à mon carbet, elle remarquat que celui ci n’était constitué que d’un toit de feuilles surplombant mon hamac et une vague table basse.

« ça ne va pas être très intime pour vous examiner »

En effet, les villageois s’était groupés autour de nous, curieux de voir ce qui allait se passer.

Je lui dit que ça n’était pas grave, et que tout évènement dans le village était objet de curiosité.

« Comme vous voulez… »

Elle sorti de son sac à dos un stetoscope, et un appareil à tension et enfila de fins gants de latex.

L’examen commença par des controles de routine..coeur poumons,tension.

Puis elle sorti un thermomètre de son sac.

« penchez vous! »

« heu…il n’y a pas moyen de faire autrement? »

« non! »

Devant sa fermeté, je m’executais et me penchais en avant..

Les villageois autour de nous commençaient à trouver la situation interessante..

Je sentis sa main gantée écarter mes fesses et la fine pénétration du thermomètre.

« 37,5…ça va…allez vous mettre assise sur le bord de votre hamac et écartez les jambes… »

« Mais pourquoi? »

« je dois proceder à un examen gynécologique pour voir si vous ne ramenez pas de mst.. »

« Mais jen’ai eu aucun rapport sexuel depuis que je suis ici.. »

« Peu importe, je dois le vérifier par moi méme! »

Encore une fois , j’obéis..

« Quelle horreur tous ces poils…!c’est d’autant plus dommage que vous avez une vulve magnifique, avec les lèvres très ressorties.. »

Je sentis son index me pénetrer sans douceur…puis un autre doigt…

Ce n’était pas une carresse, mais après deux ans sans activité sexuelle, mon corps réagit malgré moi, et à ma grande honte elle s’en appercu..

« Mais vous êtes gâtée par la nature…vous avez un clitoris géant! c’est rare et précieux! »

D’un index mutin , elle le titillait en souriant, et au lieu de protester, je me mis à gémir doucement..

« relevez vous debout face à moi, je vais examiner vos seins »

En fait d’examen, ce fut plus bursa escort bayan des carresses qu’une palpation médicale…et là encore,mon corps réagit malgré moi…mes tétons se dressèrent comme si je frissonnais de froid…ce qui n’était pas le cas..Je me sentais bouillir d’un mélange de honte, d’humiliation et d’un vague plaisir que j’aurais voulu réfréner

Alors qu’elle me pinçait les tétons à me faire gémir, je rencontrais le regard de cette étrange médecin.

On y lisait le plaisir d’humilier, de me donner en spectacle au village entier.

Mais je ne savais comment lui résister.

Après de longues minutes de palpations diverses, elle remit ses instruments dans son sac.

« Voilà, j’ai fini pour le coté médical…pensez vous que je puisse prendredes photos sans choquer vos amis? »

« Oui si vous ne les photographiez pas directement, ils se détourneront de l’objectif parce que pour eux leur âme est volée par l’objectif à travers leurs yeux.. »

« ok pas de problème, c’est vous que je voudrais photographier dans différentes situations de votre vie quotidienne ici.. »

Sans attendre ma réponse, elle sorti un appareil à développement instantané de son sac

Pensant que celà pourrait compléter mon étude, j’acceptai et avec application je pris les poses qu’elle me demandait.

Ayant pris une série de photos , et après leur développement elle me les montra..

Elles étaient en noir et blanc et je fut troublée de me voir ainsi nue dans ces différentes postures alors qu’on voyait en arrière plan les villageois vaquant à leurs occupations en évitant soigneusement de nous regarder.

J’ai entendu certaines femmes vous appeler par votre nom tribal…mais je ne maitrise pas assez leur langue..ils vousont appelé « la grosseblanche »?

« Euh…non …en fait c’est « la blanche aux grosses mammelles »

« Ah… mais c’est très approprié..je vais pouvoir légender mes photos… « la blanche aux grosses mamelles » dans son hamac…,etc… »

« C’est pour une étude ethnologique? »

« Non c’est pour moi, un album de souvenir de ma mission en Guyanne, je dois partir la semaine prochaine et si possible rentrer avec vous… »

Les évènements se précipitaient…!

« Mais quand dois je quitter le village? »

« Demain se serait bien, vous pourriez partir avec moi »

Elle m’expliquat qu’à l’université un débat vif avait eu lieu sur la pertinence de ma mission qui semblait couter cher sans résultat tangible et que j’avais intéret à rentrer au plus tot.

Je passais la soirée à dire au revoir à mes amis indiens, les remerciant de m’avoir si bien accueillie.

Je dus installer un hamac à coté du mien pour le Docteur Amalia..une bonne partie de la nuit, elle me posa des questions très orientées sur ma vie dans la tribu…Est ce que je m’étais fait draguer…pourquoi escort bursa je n’avais eu aucun rapport sexuel avec un indien, en avais-je eu avec une ou des femmes de la tribu…ellle insista beaucoup sur ce point…

J’étais hypnotisée par ces questions intimes, et je m’entendis lui répondre que les moments quotidiens de toilette à la rivière entre femmes étaient souvent une occasion de carresses de leur part.

« Et vous avez aimé? »

« euh..oui c’était …délassant »

A ces mots elle rit doucement et s’endormit.

Nous partimes le lendemain par la piste qui était le seul chemin vers la

« civilisation»..

Je marchais sur cette piste en profitant de mes dernières heures dans cette magnifique forêt primaire.

J’étais toujours nue, mon accompagnatrice m’avais assuré qu’elle avait de quoi me vétir une fois arrivées à leur camp de base.

Elle me précédait sur la piste ,marchant d’un pas vif, pressée de rentrer vers le confort…Quand à moi je traînais plutôt..

Ayant pris une bonne avance sur moi, elle se retourna pour m’attendre.

« J’adore le balancement de vos mamelles quand vous marchez.. »

Je me sentis rougir…Dans le village tribal, ma nudité n’était pas un sujet…

Là..je sentais son regard sur mon corps comme une brulure, mais aussi comme une carresse.

J’arrivais à sa hauteur.. « passez devant…je veux profiter de la vue de votre cul aussi… »

J’aurais dû me braquer, protester contre ses mots humiliants…mais au lieu de celà, je la dépassais sans rien dire.

Après quelques heures de marche, nous arrivames enfin au camp de base, installè dans une clairière au croisement de la piste forestière et d’une piste carrossable.

« restez là, je vais vous chercher des vêtements, sinon vous allez affoler tous mes collègues.. »

Elle revint quelques minutes plus tard avec une chemise de brousse et une vague jupe

« ça ira pour l’instant, de toute façon nous rentrons immédiatement sur Cayenne…j’en ai assez de ce pays »

En effet, après de rapides salutations aux autres petsonnes sur le camp, elle me fit monter dans son land rover et nous primes la piste sans tarder.

Le voyage fut très long..ce qui nous laissa le temps de faire plus ample connaissance…Sans m’en rendre compte, j’appréciais son autorité naturelle, la forme de séduction rude qu’elle dégageait.

Je lui fit part de mes soucis d’hèbergement…

« je n’ais aucun point de chute pour me loger en attendant de prendre une réservation pour un vol de retour »

« Ne vous en faites pas pour ça, votre vol a été rèservé par l’université pour dans quatre jours, et en attendant vous logerez avec moi dans le studio qu’ils m’ont attribué »

Après des heures de pistes puis de route plus carrossable, nous arrivames de nuit à Cayenne.

La porte de son studio à peine refermée, elle s’écria : « je ne sais pas vous…mais moi je rêve d’une douche chaude.. »

« Euh…oui, ça fait deux ans que je n’en ai pas pris… »

« ok..! venez on va se prendre une douche entre filles… »

A suivre