Ma mère Marie-Laure – Le samedi

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Ma mère Marie-Laure – Le samediMarie-LaureSamediLors de ma première séparation je suis allé chercher refuge chez ma mère, Marie-Laure.Elle était à la retraite depuis quelques mois et avait tout son temps pour s’occuper de son fiston dont le moral était au plus bas.Je retrouvais des sensations de protection et de chaleur humaine oubliées depuis mon adolescence, je retrouvais ma mère toujours prévenante, cherchant à satisfaire le moindre de mes désirs.J’avais tendance durant cette période à me laisser durant les fins de semaine. Ma mère était certes contente que je reste avec elle, elle est du genre possessif, mais me poussait tout de même à me bouger et c’est ainsi que je me remis à faire du vélo le samedi matin.Et ainsi après avoir pédalé toute la matinée du samedi je rentrais dans l’appartement couvert de sueur. Ma mère m’ordonna d’aller sous la douche et de me raser avant le déjeuner; le repas était presque prêtLa douche prise j’entreprenais de me raser devant le miroir lorsque ma mère fit son apparition dans la salle de bain.-Maman, je suis nu, m’écriais-je, surpris de cette intrusion dans mon intimité. -Je le vois bien mon fils, mais j’ai entendu le bruit du rasoir, je pensais que tu étais habillé. Ne sois pas fâché je suis ta mère après tout, et tu n’est plus un adolescent. De tout façon si tu reste avec moi on va inévitablement être amené à se voir en petite tenue, on ne va pas faire de manière entre nous n’est ce pas. -Tu as raison maman, mais j’ai été surpris. Lorsqu’elle est entrée je me suis senti honteux, coupable d’être nu, comme un petit garçon surpris en train de se tripoter Mais voyant qu’elle prenait la situation avec le plus grand naturel je me suis senti presque fier de me montrer à elle dans le plus simple appareil.-Je viens juste pour me coiffer, je vais chercher le gâteau que j’ai commandé et ensuite nous pourrons passer à table, dit elle en finissant de boutonner son chemisier.Je vis, quelques secondes, sa gorge mise en valeur par un vaillant soutien-gorge blanc et cela me troubla. Je n’avais jamais éprouvé la moindre attirance pour ma mère. Ma mère est une femme ronde et je l’ai toujours connue ainsi bien que sur les photos de sa jeunesse apparaisse une belle femme brune, plantureuse mais mince.Maintenant ses cheveux sont colorés et ses formes se sont encore arrondies. Lorsque j’étais adolescent ses formes généreuses ne correspondaient pas du tout à mon idéal féminin et encore moins à mes fantasmes. Plus encore, ses décolletés ne gênaient mais les goûts évoluent avec le temps… Lorsqu’elle quitta la salle de bains après s’être coiffé, je ne pus m’empêcher de me tripoter en fixant son gros fessier ondulant.-Habilles toi vite, je reviens tout de suite.En fait j ne m’habilla pas immédiatement, je me fis bander en pensant à ses formes si rondes, ses seins lourds qu’elle laissait libres sous ses vêtements lorsque nous étions seuls dans l’appartement et son cul large et charnu. C’était ataşehir escort la première fois que j’avais des pensées i****tueuses, après tout ce n’est qu’un fantasme, je ne faisais de mal à personne et il était si bon de caresser ma queue raide en étant à poil tel qu’elle venait de me voir. Cela décupla mon plaisir, surtout, j’ai honte de la dire, que je me saisi d’une de ses culottes dans le panier de linge sale pour l’enrouler autour de ma verge.Après avoir éjaculer dans le lavabo je me dis que j’étais calmé pour un petit moment mais il n’en fut rien. Elle m’obsédait bien que sachant qu’il ne pouvait rien se passer entre nous, enfin normalement….Alors que nous déjeunions je reluquais son cul chaque fois qu’elle se levait de table, il faut dire que son pantalon le moulait à merveille.Son chemisier bien que fermé jusqu’au dernier bouton ne fit rien pour calmer mon trouble, un des bouton s’était défait et par instant j’apercevais le bonnet en voile et dentelle blanc du soutien gorge maternel.Nous étions au début de l ‘été et après déjeuner, une sieste était de rigueur. Elle me permettrait bien évidemment de me soulager car je bandais à nouveau. Je laissais la porte de ma chambre entrouverte, espérant qu’elle vienne me rejoindre et s’occupe de ma verge qu’elle avait bien inconsciemment mis en érection.Je l’entendis se lever et mon cœur se mit à battre plus vite, était-ce possible, elle venait me voir. En fait elle se dirigea vers la cuisine pour boire et je pus admirer son cul énorme dans la raie duquel se perdait sa culotte blanche, ma queue était redevenue molle et je ne parviens pas à la faire durcir à nouveau, il faut dire que cette vision fut brève. Je m’allongeais de façon indécente sur le dos, les cuisses largement ouvertes. Lorsqu’elle revient je gardais les yeux mi-clos et pus ainsi voir ses lourdes mamelles pendantes se ballotter à son pas. Bien qu’étant dans la pénombre je fermais mes yeux lorsqu’elle se dirigea vers ma chambre et je sentis , quelques instants, sa présence dans l’entrebâillement de la porte. Je m’en voulu de m’ être fait jouir si vite…elle aurait put admirer son fils en érection, ne sachant pas, évidemment, que c’était pour elle qu’il bandait si fort.Je finis par m’endormir réellement la fatigue de la balade en vélo et les branlettes aidant.Lorsque je me leva ma mère était assise au salon vêtue d’une simple combinaison blanche sous laquelle ses seins étaient libres.-Tu as bien dormi on dirait, mon fils.-Oui, j’étais fatigué.-J’ai vu ça, tu dormais comme un bébé lorsque je me suis levée pour aller boireNous continuâmes à parler de banalités mais je pouvais m ’empêcher de voir, malgré le tissu, ses seins lourds nus ; leur auréole brune et large. Il est vrai que les tétons pointaient vers le bas et me rappelaient, comme si c’était nécessaire, le mouvement des mamelles blanches entrevues dans le couloir cet après-midi.-Cela te dit, maman, d’aller manger une glace au ümraniye escort bord de la mer, on aura peut être un peu de fraicheur .-Avec plaisir, et tant pis pour ma ligne-Ne te soucies donc pas de ta ligne, cultives plutôt tes rondeurs, maman. Tu es belle ronde et non pas filiforme.Merci pour ces compliments mon chéri, allons-y, faisons nous beaux pour sortir.Je saisis ma mère par la hanche en nous dirigeant vers nos chambres et mon poignets sentait le sein lourd reposer sur lui. Je n’avais qu’une envie prendre ses seins à pleine main et les peloter, les malaxer, sentir leur poids, leur peau douce et chaude.J’abandonnais, à regret la taille de ma mère pour aller m’habiller ce que je fis en en deux temps trois mouvements malgré une envie folle. de ma masturber -Tu es prêt maman ?-J’hésite, je ne sais pas quoi mettre-Vous êtes toutes les mêmes dis je en me dirigeant vers sa chambre dont la porte était ouverte. Ma mère, simplement vêtue de sa petite culotte blanche fouillait dans sa penderie à la recherche du vêtement qui allait, le scélérat, cacher son corps voluptueux.Oh excuses moi maman-Ce n’est rien mon fils on a passé l’âge des fausses pudeurs, je te l’ai dis ce matin, j’acquiesçais de la tête.. Dis moi tu penses qu’il vaut mieux que je mette un robe ou un pantalon ?-On va juste à la plage, pas à une soirée. Mets ce qui te fais plaisir, comme tu te sens le plus à l’aise.-Que penses tu de ce corsaire blanc avec cette tunique bleu.-C’est parfait, maman, tu seras la plus belle .Je n’en croyais pas mes yeux ma mère était là, devant moi, à moitié nue sans la moindre gêne alors que mon émoi était maximum, enfin je le pensais.-Ah, cette tunique ne couvrira pas mes fesses, il faut que je mette un string sinon on verra la culotte au travers du corsaire blanc.Joignant les actes aux paroles elle se tourna vers la commode se saisit un tout petit, mais tout petit string blanc qu’elle enfila de dos à moi. Son cul généreux, joufflu était là, à portée de main et pourtant inaccessible. Si j’avais étais cardiaque, j’aurais eu une attaque.Elle enfila par dessus son corsaire elle se tenait maintenant face moi les seins nus et ballottant.-Où ai je mis mon soutien-gorge ?-Là maman sur le dossier de la chaise, dis je lui tendant le précieux accessoire.-Vous ne savez pas la chance que vous avez les hommes de ne pas avoir besoin d’un tel carcan.-N’en mets pas si tu n’as pas envie.-Je ne peux sortir sans, mon fils, je n’ai pas une poitrine de jeune fille tu le vois bien. Quand on est seuls cela va, mais dehors…Le soutien-gorge emprisonna les belles mamelles lourdes de ma mère créant un charmant sillon profond où j’aurais volontiers glissé ma verge si la tunique ne vient pas recouvrir ses trésors.-Qu’en penses tu mon chéri ?Tu es très belle mamanElle se retourna et relevant légèrement la tunique, cambra ses fesses-On ne voit pas le string ?-Non, c’est parfait, mais je ne t’aurais jamais imaginée portant un string maman.-Tu kartal escort trouves que je suis trop vieille ou bien que j’ai de trop grosses fesses, ou les deux peut être?-Non mais je te voyais avec des tenues, comment dire, plus  classiques. En tout cas je trouve cela très bien, je suis très content d’avoir une mère sexy comme toi.Assis sur la terrasse du café je ne fus pas le seul à apprécier le décolleté de ma mère, le serveur, un gamin d’un vingtaine d’années profitait de sa vison haute.Il possédait une vue privilégiée sur le sillon mammaire de ma mère. Elle avait remarqué le manège du serveur qui quand il passait près de nous, il baissait son regard dans l’échancrure de la tunique .-Y en a qui ont de la chance d’avoir un tel point de vue.-Ne sois pas jaloux il faut savoir partager mon fils, dit elle en riant.Elle croisa ses bras qu’elle posa sur la table en faisant remonter sa poitrine et se pencha légèrement en avant.-Dans ces conditions, je veux bien partager ….Elle sourit.-J’ai deux admirateurs mais l’un est trop jeune et l’autre est mon fils, je n’ai pas de chance décidément.-Je suis sur que d’autres hommes sont sous ton charme-Penses-tu, la plupart ne cherche qu’une chose, tu le sais bien. Allez rentrons,l’averse ne va pas tarder, le ciel est bien couvert.En quittant la terrasse je la pris par la taille, certain que les hommes reluquait son gros cul moulé de façon indécente par le corsaire. A cet instant je fus convaincu que nous devions devenir amants peu importe qu’elle soit ma mère, cette femme me rendait dingue, son ingénuité, son corps tout en elle suscitait un désir sensuel mais aussi amoureux . Oui j’étais purement tombé amoureux de ma mère je devais l’admettre, au diable les tabous et la morale. J’étais certain qu’elle le désirait aussi, sinon je ne comprenais pas son attitude envers moi, il ne pouvait s’agir d’une simple absence de pudeur entre mère et fils. Elle ne le désirait peut être pas consciemment mais son désir de séduction me semblait évident.Lorsque nous rentrâmes elle revêtit sa combinaison sous laquelle elle ne portait toujours pas de soutien-gorge. -Fermes la porte du balcon Etienne; l’orage arrive.Tu es sure maman ?-Oui j’ai vu un éclair.Effectivement quelques instants ensuite se fit entendre le tonnerre.-Je n’aime pas les orages, j’ai peur du tonnerre et des éclairs.-Je ne le savais pas, c’est récent-Non mais lorsque tu étais petit je prenais sur moi, je ne voulais pas vous transmettre ma peur. -Tu es adorable maman, viens dans mes bras.Elle me rejoins sur le canapé après avoir débranché le téléviseur. L’orage l’inquiétait vraiment.Elle se lova dans mes bras et posa sa tête contre ma poitrine. Elle avait sous les yeux la braguette ouverte de mon caleçon découvrant ma verge. Elle ne me fit aucune remarque et je m’enhardis à l’embrasser dans le cou sans toutefois oser poser mes lèvres sur sa bouche alors qu’elle me semblait soumise ; prête à accepter tout de moi.Nous restâmes ainsi enlacés à nous cajoler. Ce ne serait pas pour tout de suite. Une chose était de se dire que la morale n’avait aucune importance et une autre de passer aux actes. Mais ce n’était que partie remise, c’est certain.